Salut à tous ! Vous voulez en savoir plus sur le projet de sanctuaire collectif ? vous êtes au bon endroit ! Vous avez regardé la vidéo d’intro ? Si ce n’est pas déjà fait, allez la regarder (en haut à droite) car c’est le point de départ idéal pour découvrir le projet. Vous êtes ici par curiosité ou parce que le projet vous intéresse ? Dans les 2 cas, vous êtes les bienvenu(e)s. Car même si ce projet n’est peut-être pas ce que vous recherchez personnellement, il y a peut-être des personnes dans votre entourage pour qui c’est le cas ! Le but, c’est que ce projet arrive à l’oreille des bonnes personnes, donc merci d’avance pour en parler autour de vous. (Cliquer sur la flèche à droite pour la suite)

Si je devais résumer le concept, ce serait : « Un lieu d’émerveillement avec les animaux et de prise de conscience complétés par des ateliers pratiques de cuisine pour accompagner les visiteurs vers un régime végétal. » Sensibiliser ne suffit pas. Sans outils ni compétences, les visiteurs peineront à adopter une alimentation plus végétale au quotidien. C’est pourquoi l’émotion et le pratique doivent aller de pair : c’est la clé pour toucher le grand public. L’idée ? Combiner ces deux aspects en une seule journée — divertissante, détendue et inspirante. Car c’est avant tout le plaisir qui attirera les visiteurs vers ce lieu unique.

Le sanctuaire sera organisé autour de 4 activités principales 1. Soins aux animaux : offrir un refuge sûr et enrichissant. 2. Visites éducatives : créer des rencontres émouvantes et inspirantes. 3. Ateliers pratiques : solutions concrètes et faciles pour un régime végétal. 4. Restauration : permettre aux visiteurs de se restaurer autour d’un repas savoureux. Vous avez surement noté l’activité de restauration qui aura une place non négligeable. Servir des repas aux visiteurs sur place complète idéalement la visite et les ateliers pratiques d’un point de vue logistique. Cela simplifie l’organisation de la journée pour les visiteurs, et génère un revenu supplémentaire pour soutenir le sanctuaire.

Avant de parler des détails pratiques (superficie, animaux, équipe, etc.), il est ô combien nécessaire d’aborder la question de son modèle économique. Le sanctuaire fonctionnera sur un modèle économique similaire à celui d’un parc animalier – mais sans aucune exploitation. En effet, la source de revenus principale du sanctuaire proviendra des entrées de visiteurs. La précision est importante car le terme sanctuaire est parfois synonyme de refuge pour animaux traumatisés, fermé au public, dont les besoins sont financés principalement par des donations. (Si j’étais millionnaire, l’entrée serait gratuite… Mais pour que le projet survive, c’est une nécessité.) Dans mon cas, le projet est donc plus proche d’un lieu « touristique ». Un effort marketing conséquent sera donc nécessaire pour attirer un large public de visiteurs et fédérer une communauté de soutiens engagés. Ce projet vise une notoriété nationale en s’appuyant sur une importante présence sur Internet, mais également des soutiens locaux.

C’est une aventure humaine et entrepreneuriale alliant bien-être animal et viabilité économique pour ceux qui y travaillent. Un tel projet ambitieux ne se réalise pas seul. Je recherche donc au moins 3 personnes pour devenir Associé du sanctuaire :

• Devenir copropriétaire du lieu (achat collectif du foncier).
• S’impliquer activement dans les activités quotidiennes du sanctuaire.
• Résider sur place, en faisant de ce projet leur lieu de vie.
• Participent aux décisions stratégiques de manière collégiale.

Vous souhaitez travailler avec des animaux et des humains, contribuer à la cause animale et recherchez une aventure collective pleine de sens ? Alors contactez-nous pour devenir associé du sanctuaire. (l’aspect financier est développé dans la partie 9 : acquisition du foncier)

Le sanctuaire ne repose pas uniquement sur les associés. 2 autres formes d’implication sont possibles pour celles et ceux qui souhaitent contribuer à leur manière : Employés et bénévoles (à partir de 2026) Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues, y compris celles qui n’ont pas de ressources financières à investir. Leur aide sera indispensable pour faire vivre le sanctuaire au quotidien. L’un des objectifs est de proposer un logement sur place aux employés et bénévoles, afin de faciliter leur engagement et leur implication au quotidien. Soutiens financiers (mécènes-investisseurs) Un projet de cette ampleur nécessite un apport immobilier important, qui pourrait dépasser les capacités des associés. Pour ceux qui ne souhaitent pas résider sur place, nous pouvons envisager une levée de fonds pour l’achat du bien. Cette participation s’apparente à un investissement refuge dans la pierre :

• Acquisition d’une partie d’un bien dont la valeur reste stable.
• Aucun versement de dividendes (comme dans certaines coopératives).
• Engagement éthique plutôt que spéculatif (souscrire des parts sociales)

Revenons à nos moutons ! Afin que la magie opère chez un maximum de personnes, le sanctuaire accueillera toutes les principales espèces d’animaux d’élevage, chacune en groupe suffisant pour répondre à leurs besoins sociaux et comportementaux. Voici la composition prévue :

• Bergerie : 6 moutons
• Canardière : 10 canards
• Chèvrerie : 4 chèvres
• Étable (ânes) : 3 ânes
• Étable (vaches) : 4 vaches
• Poulailler (dindes) : 10 dindes
• Poulailler (poules) : 12 poules
• Étable (cochons) : 4 cochons
• Étable (chevaux) : 3 chevaux

Total : environ 50 animaux Cette diversité permettra aux visiteurs de créer des liens avec différentes espèces.

Le sanctuaire nécessitera un espace soigneusement organisé pour concilier le bien-être animal et les besoins humains. Pour les animaux, au moins 200m² sous forme de bâtiments agricoles avec bergeries, étables et autres habitats adaptés. Les infrastructures dédiées aux visiteurs et aux activités occuperont également 200 m². Cet espace comprendra :

• Zone d’accueil des visiteurs
• Cuisine professionnelle
• Salles d’ateliers éducatifs

Extérieurs : au moins 2 hectares de terres attenantes seraient nécessaires pour :

• Parcs et enclos extérieurs
• Zones d’interaction avec les animaux
• Parking visiteurs
• Habitats légers (tiny houses, camping…)

Ces terrains, idéalement plats ou peu pentus, pourraient inclure des zones boisées tout en restant accessibles pour les visiteurs.

Concernant le logement humain, la surface serait déterminée en fonction du nombre de membres du collectif, avec une estimation de 30 m² par personne. La facilité d’accès du sanctuaire sera très déterminante pour attirer le public. L’idéal serait de se situer à 20 minutes maximum d’une gare ou d’un axe routier important. On évitera donc les zones trop isolées.

L’acquisition d’une propriété adaptée, incluant les travaux nécessaires, est estimée à 500 000€ min. La stratégie d’acheter une propriété plus grande, à plusieurs, est motivée par plusieurs raisons.

• Le sanctuaire a besoin d’une équipe permanente pour gérer les différentes activités au quotidien. Loger sur place permettra de créer un espace de vie et de travail partagé, tout en préservant l’intimité de chacun(e).
• Mutualiser nos ressources rend possible l’acquisition d’un domaine suffisamment vaste pour accueillir les animaux et le public.

C’est également un projet de vie qui s’inscrit dans une démarche plus collective de partage d’espace de vie et de moments du quotidien : par exemple la prise de repas en commun avec une grande cuisine collective.

Dans un 1er temps, le projet démarrera sous forme associative, une solution légère et adaptée aux premières étapes. Ensuite, lorsque le projet aura bien avancé, deux statuts semblent pertinents : SCIC ou ESUS (SAS). Pour l’instant, ce n’est pas le plus urgent, mais il faut y penser. Un tel projet entrepreneurial avec des investissements conséquents et qui plus est en collectif nécessite d’estimer la faisabilité économique de manière rigoureuse. J’ai donc réalisé un tableau de prévisionnel (recettes, charges, résultat) en incluant le SMIC pour les 4 associés et les employés. Et cela en fonction du nombre de visiteurs, de repas servis, etc. Je partagerai en détails le prévisionnel en privé avec les personnes intéressées de rejoindre le projet. Si le lieu est attirant, l’équipe accueillante et compétente, alors je pense vraiment que le projet est viable.

Une aventure collective, c’est des talents complémentaires et surtout des personnalités qui savent travailler et relever les challenges ensemble et dans la bonne humeur. Donc, je dirais que faire preuve d’esprit critique et d’intelligence émotionnelle sont les qualités premières recherchées. Compte tenu de l’objectif sociétal du projet, maîtriser les enjeux de l’éthique animale s’avérera particulièrement utile. Je liste quelques compétences (liste non exhaustive). N’hésitez pas à le mentionner dans votre message. Compétences relationnelles :

• Animation d’ateliers et aisance à prendre la parole en public
• Accueil des visiteurs et qualité de contact

Compétences techniques :

• Connaissances en soin animalier
• Maîtrise de la cuisine végétale
• Compétences en marketing et communication
• Savoir-faire en vidéo (tournage et montage)
• Réparations et travaux manuels

L’idéal serait de constituer une équipe dans laquelle ces différentes compétences se complètent. Mais surtout, nous cherchons des personnes motivées par le projet dans son ensemble, prêtes à s’investir dans cette aventure humaine autant que professionnelle. Si vous vous reconnaissez dans cette approche, même si vous ne cochez pas toutes les cases, n’hésitez pas à nous contacter !

Pour que le projet réussisse à attirer du public, certains aspects seront stratégiques. Les points ci-dessous sont déterminants dans le choix de visiter un lieu touristique sur le thème des animaux.

• la variété des animaux (remplace le zoo traditionnel)
• la beauté du lieu (espaces arborés, installations soignées, nature)
• un espace adapté aux familles (jeux et activités ludiques)
• la possibilité de « décompresser » du quotidien (repas fournis)
• l’éthique irréprochable dans le traitement des animaux
• la possibilité de créer de joyeux moments mémorables avec ses proches

La communication, l’image renvoyée par le sanctuaire, comment il est perçu par le grand public, ainsi que l’expérience qu’il donnera aux visiteurs seront les points centraux pour séduire le public.

Ce projet est un rêve qui ne demande qu’à devenir réalité. Je n’ai jamais été autant motivé de toute ma vie. Il est bénéfique pour les animaux. Il est pensé pour durer grâce à son modèle économique. Il a pour but de prendre soin des animaux et de nous-même. Pour moi, ce sanctuaire est la rencontre de 2 citations : « Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour dans ta vie » (Confucius) « N’ayez jamais peur de faire ce qui est juste, surtout si le bien-être d’une personne ou d’un animal est en jeu. » (Martin Luther King Jr)

La recherche d’associé(e)s est officiellement lancée ! Vous êtes intéressé(e) ? ➡ Envoyez un mail à dpedm.projet@gmail.com avec quelques mots vous présentant – votre message sera lu avec attention ! ➡ Dans un second temps, on échangera par téléphone, car l’écrit ça va 5 min lol, mais rien ne vaut une vraie conversation. En termes de calendrier, l’année 2025 servirait à échanger et monter le collectif d’associés puis on entamerait les démarches de recherche de propriété pour viser une acquisition 2026. Une fois le lieu trouvé (trop hâte !), on pourra viser, en fonction des travaux, une ouverture fin 2026/début 2027. Et si vous n’êtes pas candidat(e) pour devenir associé(e) ? Vous pouvez soutenir le projet en en parlant autour de vous, notamment à des personnes sensibles à la cause animale. Donc merci infiniment de partager ! A très vite ! Toni